Objectif; refaire le plat marocain aux écorces d’agrumes confites dont on a envie ce soir, sans retrouver la recette (ou plutôt sans vouloir se donner la peine de la chercher).
Il reste de ces écorces confites que je fais toujours en décembre pour le temps des fêtes. J’en ai fait plus cette année, et j’ai congelé (mauvaise idée; c’est trop détrempé).
Bonne nouvelle; elles sont maintenant terminées ces écorces. Je dis ça comme si c’était catastrophique; c’est loin d’être le cas. Mais comparé aux « pas congelées »... la marche est haute.
La recette initiale comportait du poulet; mais j'utilise du tofu. D’ailleurs, dans ces préparations aux 1001 épices... le « substrat » importe peu somme toute! C’est tout le reste qui donne le goût véritable.
Alors une fois le tofu déchiqueté à la main (ou le poulet si on veut être orthodoxe), on le fait revenir dans un peu d’huile avec;
Il reste de ces écorces confites que je fais toujours en décembre pour le temps des fêtes. J’en ai fait plus cette année, et j’ai congelé (mauvaise idée; c’est trop détrempé).
Bonne nouvelle; elles sont maintenant terminées ces écorces. Je dis ça comme si c’était catastrophique; c’est loin d’être le cas. Mais comparé aux « pas congelées »... la marche est haute.
La recette initiale comportait du poulet; mais j'utilise du tofu. D’ailleurs, dans ces préparations aux 1001 épices... le « substrat » importe peu somme toute! C’est tout le reste qui donne le goût véritable.
Alors une fois le tofu déchiqueté à la main (ou le poulet si on veut être orthodoxe), on le fait revenir dans un peu d’huile avec;
- un oignon en tranches minces
- quelques gousses d’ail
- du gingembre frais
- quelque chose de piquant (harissa... piment séché... )
- des légumes si on veut (la recette initiale n’en mentionnait pas d’autres, mais j’ai osé des carottes et c’est très bon)
- du curcuma
- du cumin
- et d’autres parfums si on en a envie; faut pas être timide!
quand c’est bien doré, on verse du bouillon (de légumes dans mon cas), un bâton de canelle, les écorces d’agrumes confites, de belles olives marocaines (j’en avais plus, j’ai dû me contenter d’olives « en boîte »... et ça fait une sacrée différente!), et si on aime, des abricots séchés. On laisse mijoter le temps de superviser les devoirs, les pratiques d’instruments, le visionnement d’un petit bout de film... et quand on décide que c’est prêt, on fait bouillir 250m de liquide (j’utilise toujours du jus d’orange dans ce cas) pour y verser 250g de couscous. On couvre et on éloigne du feu, pour ensuite faire gonfler à la fourchette avec un peu de beurre. Je dépose quelques pistaches dessus dans les assiettes.
Ma foi... c’est assez goûteux!
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